Le dimanche 27 avril 2008, la nation togolaise fêtait ses 48 ans d'indépendance. A Lomé la capitale de l'ancienne Suisse de l'Afrique de l'Ouest, la célébration, faite de décorations, de parade militaire et civile et de réjouissances populaires, a été présidée par Faure Gnassingbé, le chef de l'Etat. Ce n'était cependant qu'une fête de plus qui visiblement n'a rien changé dans le quotidien du peuple togolais. Le Togo, ce concentré de difficultés.
27 avril 1960 - 27 avril 2008. Cela faisait 48 ans exactement que le Togo a acquis son indépendance, à l'instar de nombre d'Etats voisins qui l'entourent. 48 ans, presqu'un demi siècle, c'est loin d'être incongru dans la vie d'une nation. Raison pour laquelle les festivités au menu de cette commémoration étaient plus que justifiées. Seulement, lorsque nous quittions notre hôtel vers 8h, ce dimanche 27 avril 2008, pour nous rendre aux manifestations commémoratives des 48 ans d'indépendance du Togo, rien autour de nous n'indiquait que l'heure était à la fête. En dehors de la télévision locale qui diffusait les séquences d'un imposant défilé militaire. Mais dans les rues plus ou moins désertes. Ce n'était pas la grande effervescence. Il ne fallait pas trop s'en étonner. Assou - c'est le prénom que portent les jumeaux de son ethnie-jeune "zémidjan" (conducteur de taxi-moto), ignorait même qu'il y avait une fête, a fortiori, l'endroit où elle se déroulait. Nous l'informons donc que c'était vers la nouvelle présidence, c'est-à-dire non loin de la résidence de Faure Gnassingbé, le chef de l'Etat.
Nous voilà donc embarqué sur un "zémidjan" astiqué comme une Rolls Royce, et qui faisait la fierté de son propriétaire. Sur un parcours sécurisé par des hommes de tenue, doigt sur la gâchette, nous avons rencontré des hommes et femmes endimanchés qui se pressaient pour assister à l'événement. Assou, lui, avait d'autres soucis. "Nous, les jeunes, on souffre trop", nous a-t-il révélé dans un français qui laisse deviner aisément que son cursus scolaire a dû se limiter au cours primaire. "Et si je passe toute ma matinée ici, qu'est-ce que je vais manger ?" nous a demandé Assou qui a aussitôt démarré sa moto après avoir encaissé son dû.
Nostalgiques des années Eyadéma
"Avec Faure, le Togo reprend sa place dans le concert des nations", affichait une des banderoles tendues à la tribune officielle. Et le défilé, militaire d'abord et civil ensuite, se poursuivait au rythme très cadencé de la fanfare. Le jeune chef de l'Etat togolais, debout et comme esseulé au milieu d'un monde bigarré, saluait invariablement les paradeurs. Seul, Faure l'est assurément, lui dont certains membres de la propre famille considèrent comme un opposant à leur père feu le général Gnassingbé Eyadéma. Des irréductibles de l'ancien régime du père, dépouillés de tous les avantages qui faisaient d'eux les hommes forts du Togo, défendent également cette acception, extériorisant ainsi toute leur nostalgie des années Eyadéma.
Certes, après le décès du Vieux, tout ce monde a soutenu l'arrivée du fils prodigue. Ils ignoraient sans doute que ce dernier n'allait pas marcher dans les sillons du père sous le règne duquel le Togo n'a pas connu que le bonheur, tant sur les plans social, politique qu'économique. Les crimes de sang, la privation de liberté d'expression, le clientélisme, la malgouvernance, la corruption, les détournements de deniers publics, etc., étaient des pratiques presque légalisées.
Le Togo était devenu une nation peu, voire pas du tout fréquentable par les vertueux, les amoureux de la démocratie. Ce n'est pas l'Union européenne qui avait suspendu ses relations avec l'ancienne Suisse de l'Afrique de l'Ouest qui dira le contraire. Encore moins les institutions de Bretton Woods qui, à l'instar de Bruxelles, viennent de rétablir la passerelle avec Lomé, suite aux dernières législatives togolaises qui ont connu la participation de toute la classe politique, notamment l'UFC de l'opposant historique Gilchrist Olympio. Depuis les résultats de ces scrutins qui ont matérialisé le début d'un véritable processus démocratique au Togo, le pays de Faure Gnassingbé retrouve peu à peu la confiance des bailleurs de fonds, des partenaires financiers et de bien des pays occidentaux.
Démocratie et paix
Optant visiblement pour la démocratie et pour la paix des coeurs, Faure, dans la foulée, lance des consultations pour une commission "Vérité et réconciliation". Ce qui est loin de plaire à tout le monde, notamment les anciens "hommes forts". Compte tenu de la brièveté de notre séjour, et ladite structure n'ayant pas encore été mise en place, aucune "voix autorisée" n'a été en mesure de nous en parler davantage. Sauf qu'à voix très basse, certains se sont énergiquement opposés à cette idée. "Où est-ce qu'il est allé trouver cela ? Du temps du Général, on n'aurait jamais vu ça", a affirmé avec amertume un thuriféraire de l'ère Eyadéma.
En face, le langage est tout autre. A l'instar des autres pays côtiers où l'appartenance ethnique ou régionale est un facteur incontournable en politique, Faure Essozimna Gnassingbé est considéré presque comme un messie. Pour les tenants de cette acception, cela ne tient pas du hasard, car Faure est un "métis ethnique", son père étant du Nord et sa mère du Sud. Autrement, il n'aurait pas pu engager cette ouverture qui, il faut le reconnaître, a été largement favorisée par l'Accord politique global (APG) auquel sont parvenus les Togolais sous l'égide du chef de l'Etat burkinabè Blaise Compaoré. D'ailleurs, dès son entrée fracassante et contestée sur la scène politique togolaise par le sommet, Faure a été considéré, à tort ou à raison, comme le protégé du président du Faso. Et comme s'il avait reçu une mission divine, à moins que ce soit la dernière volonté du Général au soir de sa vie, le doyen des chefs d'Etat en exercice de la sous-région a assisté le jeune Faure qui n'était pas encore assez fort pour faire face aux orages venant de partout.
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Querelle familiale
Si Blaise Compaoré, avec sa triple casquette de voisin, de président de la CEDEAO et de l'UEMOA, a pu accompagner jusque-là Faure dans ses premiers pas de chef d'Etat, aura-t-il pour autant les ressources nécessaires pour réconcilier les enfants Gnassingbé dans une querelle qui pourrait à tout moment remettre en cause le fragile processus de paix au Togo ? La cassure entre les enfants du Général a été une fois de plus perceptible lors de la célébration du 48e anniversaire de l'indépendance du Togo. Kpatcha Gnassingbé, frère consanguin de Faure, ancien ministre de la Défense, élu député sous l'actuelle législature, a brillé par son absence à la fête de l'indépndance. Le divorce entre les deux frères n'est pas resté sans influence sur le microcosme politique togolais. Même l'armée, composée en majorité de natifs du Nord, est loin de faire bloc derrière le chef de l'Etat. Tout ou presque reste donc à faire au Togo qui ressemble à un volcan en sommeil, attendant tranquillement son heure pour entrer en éruption. Ce serait dommage pour le Togo qui, pour le bonheur d'un peuple longtemps opprimé et asservi, est en train de chercher la bonne voie.
En tout cas, l'atmosphère est lourde de suspicion au Togo, et des bruits font état d'attentats qui viseraient le chef de l'Etat et auraient été désamorcés à plusieurs reprises. Vrai ou faux ? Nous n'avons pas pu avoir la réponse sur les bords de la lagune Bè. Est-ce encore par crainte de "togolaiseries" que la soirée de gala de la fête de l'indépendance a été organisée dans les jardins d'un grand hôtel de la capitale ? C'était une première, a révélé quelqu'un. Petite anecdote : dans l'entourage familial du chef de l'Etat, certains ont boycotté la fête de l'indépendance pour la simple raison que pour eux, la vraie date qui mérite commémoration est celle du 13 janvier. En effet, pour ceux-ci, plus que l'anniversaire de l'accession du Togo à la souveraineté nationale, seul compte le souvenir du 13 janvier 1967, le fameux jour où Etienne Eyadéma s'est installé au pouvoir pour 38 ans de règne sans partage. Seule la mort aura eu raison de l'homme de Kara. Ainsi va la vie au Togo
Le Pays (Ouagadougou)
ANALYSE
30 Mai 2008
Publié sur le web le 29 Mai 2008
Morin Yamongbe
Journal d'informations culturelles, touristiques, économiques, financières, d'Échanges sur le TOGO, OR DE L'HUMANITÉ
vendredi 30 mai 2008
lundi 26 mai 2008
PROJET ALEDJO
Tu es jeune, tu souhaite donner un peu de ton temps pour aider un village africain.
Rejoins les jeunes du projet togo :
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Visitez :
http://projet-togo.blogspot.com/2007/06/retour-en-image-sur-la-soire-du-2-juin.html
dimanche 25 mai 2008
Togo: Jean-Marie Noagbodji - « Les Togolais doivent apprendre à surfer intelligemment »
Au Togo, les opérateurs telecom publics et privés ne ménagent pas leurs efforts pour promouvoir le secteur des nouvelles technologies. Togo Telecom a lancé l'ADSL il y a quelques mois et l'accès à internet via son service Illico. De son côté, Cafe Informatique - le pionnier du Net dans le pays - multiplie les offres et propose de nouvelles solutions techniques.
Jean-Marie Noagbodji est le patron de Cafe Informatique. Il nous explique comment internet peut accompagner le développement au Togo.
L'usage du Net se développe rapidement au Togo, mais en même temps on a le sentiment que les surfeurs ne tirent pas assez profit de ce formidable outil.
C'est exact. Il y a beaucoup de gens qui se connectent uniquement Internet juste pour consulter leurs courriers électroniques ou pour télécharger des jeux (80 à 85%). C'est vraiment dommage. Nous avons à maintes reprises, dénoncé cette utilisation restrictive d'Internet en démontrant qu'il y a des possibilités énormes sur le Net. Beaucoup d'information disponible susceptible de participer au développement du Togo.
Les Togolais se plaignent de la lenteur des connexions qui est un handicap sérieux pour la navigation.
Première chose, tous les serveurs que les togolais utilisent ne se trouvent pas au Togo. Il suffit de prendre la carte de visite de la plupart des gens, même les plus respectables et vous constaterez que leur adresse E-mail, c'est toujours sur « Yahoo.fr », alors que le point « fr » se trouve à l'étranger.
Conclusion, chaque fois qu'ils mettent les clics d'ordinateur, c'est un aller-retour qui passe par la liaison internationale, donc il y a déjà une utilisation pas toujours justifiée de cette liaison internationale.
Deuxième chose, le fait que ce point se trouve à l'étranger et que c'est la liaison satellitaire que l'on emprunte, on est obligé d'avoir un temps de réponse d'un minimum de 700 à 800 milliseconde contrairement au câble sous-marin dont le temps de réponse serait de l'ordre de moins de 200 millisecondes. C'est cela qui peut expliquer en partie la lenteur des connexions. Si quelqu'un a son serveur mail sur place, il n'a pas ce problème de temps de réponse.
Qu'attendez-vous de l'Etat ?
Tous les spécialistes, tous les chefs d'Etats au niveau international s'accordent aujourd'hui à reconnaître que les NTIC constitueront le soubassement de notre développement.
Cela dit, il est un devoir pour nous spécialistes de contribuer à réaliser ce rêve. Notre pays, c'est vrai, a été préoccupé par d'autres réalités pendant longtemps, mais il est temps que nous regardions dans ce sens. Si nous voulons aujourd'hui garantir le développement de notre pays par les NTIC, il nous faut aller plus loin.
Et cela nécessite la mise en place d'une stratégie. L'Etat doit dire avec précision ses objectifs pour que les opérateurs puissent les suivre. Je pense concrètement que pour sortir de l'ornière, il faut d'abord mettre les NTIC à la disposition de la population. Je veux dire par exemple que l'on puisse arriver à faire un couplage entre le téléphone portable et l'Internet.
Et pour se faire il serait bien que l'Etat donne un coup de pousse en prenant des décisions qui permettent par exemple à la population de savoir qu'en dehors de parler, le cellulaire peut servir à faire d'autres choses.
Les autorités doivent aussi commencer à renforcer la formation à partir des écoles de BTS, par exemple.
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Afrique de l'Ouest
Economie, Affaires et Finance
NTCI et Télécommunication
Industries et Infrastructures
Togo
Urbanisation et Habitat
Où en sont vos relations avec Togo Telecom ?
En ce qui nous concerne directement, nous avons d'énormes problèmes en relation directe avec l'opérateur historique Togo Telecom. Tous les deux nous avons un accès international, mais jusqu'à présent nous n'avons pas encore réussi à nous entendre pour avoir un point d'échange national.
On est bien obligé de passer par le circuit international, ce qui est une perte d'argent mais aussi de temps. C'est incompréhensible.
Republic of Togo (Lomé)
INTERVIEW
22 Mai 2008
Publié sur le web le 22 Mai 2008
Luc ABAKI
Jean-Marie Noagbodji est le patron de Cafe Informatique. Il nous explique comment internet peut accompagner le développement au Togo.
L'usage du Net se développe rapidement au Togo, mais en même temps on a le sentiment que les surfeurs ne tirent pas assez profit de ce formidable outil.
C'est exact. Il y a beaucoup de gens qui se connectent uniquement Internet juste pour consulter leurs courriers électroniques ou pour télécharger des jeux (80 à 85%). C'est vraiment dommage. Nous avons à maintes reprises, dénoncé cette utilisation restrictive d'Internet en démontrant qu'il y a des possibilités énormes sur le Net. Beaucoup d'information disponible susceptible de participer au développement du Togo.
Les Togolais se plaignent de la lenteur des connexions qui est un handicap sérieux pour la navigation.
Première chose, tous les serveurs que les togolais utilisent ne se trouvent pas au Togo. Il suffit de prendre la carte de visite de la plupart des gens, même les plus respectables et vous constaterez que leur adresse E-mail, c'est toujours sur « Yahoo.fr », alors que le point « fr » se trouve à l'étranger.
Conclusion, chaque fois qu'ils mettent les clics d'ordinateur, c'est un aller-retour qui passe par la liaison internationale, donc il y a déjà une utilisation pas toujours justifiée de cette liaison internationale.
Deuxième chose, le fait que ce point se trouve à l'étranger et que c'est la liaison satellitaire que l'on emprunte, on est obligé d'avoir un temps de réponse d'un minimum de 700 à 800 milliseconde contrairement au câble sous-marin dont le temps de réponse serait de l'ordre de moins de 200 millisecondes. C'est cela qui peut expliquer en partie la lenteur des connexions. Si quelqu'un a son serveur mail sur place, il n'a pas ce problème de temps de réponse.
Qu'attendez-vous de l'Etat ?
Tous les spécialistes, tous les chefs d'Etats au niveau international s'accordent aujourd'hui à reconnaître que les NTIC constitueront le soubassement de notre développement.
Cela dit, il est un devoir pour nous spécialistes de contribuer à réaliser ce rêve. Notre pays, c'est vrai, a été préoccupé par d'autres réalités pendant longtemps, mais il est temps que nous regardions dans ce sens. Si nous voulons aujourd'hui garantir le développement de notre pays par les NTIC, il nous faut aller plus loin.
Et cela nécessite la mise en place d'une stratégie. L'Etat doit dire avec précision ses objectifs pour que les opérateurs puissent les suivre. Je pense concrètement que pour sortir de l'ornière, il faut d'abord mettre les NTIC à la disposition de la population. Je veux dire par exemple que l'on puisse arriver à faire un couplage entre le téléphone portable et l'Internet.
Et pour se faire il serait bien que l'Etat donne un coup de pousse en prenant des décisions qui permettent par exemple à la population de savoir qu'en dehors de parler, le cellulaire peut servir à faire d'autres choses.
Les autorités doivent aussi commencer à renforcer la formation à partir des écoles de BTS, par exemple.
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Afrique de l'Ouest
Economie, Affaires et Finance
NTCI et Télécommunication
Industries et Infrastructures
Togo
Urbanisation et Habitat
Où en sont vos relations avec Togo Telecom ?
En ce qui nous concerne directement, nous avons d'énormes problèmes en relation directe avec l'opérateur historique Togo Telecom. Tous les deux nous avons un accès international, mais jusqu'à présent nous n'avons pas encore réussi à nous entendre pour avoir un point d'échange national.
On est bien obligé de passer par le circuit international, ce qui est une perte d'argent mais aussi de temps. C'est incompréhensible.
Republic of Togo (Lomé)
INTERVIEW
22 Mai 2008
Publié sur le web le 22 Mai 2008
Luc ABAKI
samedi 24 mai 2008
Henri Stambouli a quitté Lomé sans signer son contrat..
Le Français Henri Stambouli a quitté Lomé jeudi soir pour la France sans avoir signé son contrat pouvant lui permettre de devenir sélectionneur du Togo, a-t-on appris vendredi auprès du ministère des sports.
"M.Stambouli est parti, alors que la cérémonie de signature était prévue ce jour", a indiqué à l'AFP, un responsable du ministère des sports.
"C'est vraiment regrettable. Car il restait seulement quelques détails à régler. Mais, nous sommes en contact avec lui, afin qu'il revienne à Lomé pour cet acte final", a-t-il indiqué.
M.Stambouli a séjourné dans la capitale togolaise pendant près de deux semaines, la cérémonie de signature dudit contrat ayant été reportée à plusieurs reprises.
Au Togo, c'est le ministère des sports qui recrute l'entraîneur de la sélection nationale sur proposition de la fédération de football.
Mercredi dernier, M.Stambouli avait menacé de partir, dénonçant la "pagaille" dans la préparation de la sélection togolaise engagée dans les qualifications combinées à la CAN et au Mondial-2010.
"En ce moment, il y a une véritable pagaille au niveau de l'organisation. Quand je vois la manière dont on prépare le match contre la Zambie (prévu le 31 mai à Accra), je me fais du souci pour le football togolais", avait déclaré à des journalistes M. Stambouli, après une séance d'entraînement.
Le technicien français, qui devait succéder au Nigérian Stephen Keshi, travaillait déjà depuis quelques semaines avec l'encadrement technique du Togo. Il avait auparavant entraîné la Guinée (1998-1999) et le Mali (2003-2004
AFP) Vendredi 23 mai 2008
"M.Stambouli est parti, alors que la cérémonie de signature était prévue ce jour", a indiqué à l'AFP, un responsable du ministère des sports.
"C'est vraiment regrettable. Car il restait seulement quelques détails à régler. Mais, nous sommes en contact avec lui, afin qu'il revienne à Lomé pour cet acte final", a-t-il indiqué.
M.Stambouli a séjourné dans la capitale togolaise pendant près de deux semaines, la cérémonie de signature dudit contrat ayant été reportée à plusieurs reprises.
Au Togo, c'est le ministère des sports qui recrute l'entraîneur de la sélection nationale sur proposition de la fédération de football.
Mercredi dernier, M.Stambouli avait menacé de partir, dénonçant la "pagaille" dans la préparation de la sélection togolaise engagée dans les qualifications combinées à la CAN et au Mondial-2010.
"En ce moment, il y a une véritable pagaille au niveau de l'organisation. Quand je vois la manière dont on prépare le match contre la Zambie (prévu le 31 mai à Accra), je me fais du souci pour le football togolais", avait déclaré à des journalistes M. Stambouli, après une séance d'entraînement.
Le technicien français, qui devait succéder au Nigérian Stephen Keshi, travaillait déjà depuis quelques semaines avec l'encadrement technique du Togo. Il avait auparavant entraîné la Guinée (1998-1999) et le Mali (2003-2004
AFP) Vendredi 23 mai 2008
vendredi 23 mai 2008
Stambouli mécontent du report répété de la signature de son contrat
Le technicien français Henri Stambouli, favori pour devenir le sélectionneur de la sélection nationale de football du Togo, a menacé de quitter le pays, fustigeant le report répété de la signature de son contrat et un adjoint qui lui serait "imposé", a rapporté jeudi la radio nationale Radio-Lomé.
Selon Henri Stambouli, son contrat est "prêt, précis et clair" et doit être signé depuis mars.
"On veut m'imposer quelqu'un d'autre", a-t-il dit, faisant allusion à un adjoint, martelant: "Moi, j'ai pas l'habitude de fonctionner comme ça", a déclaré Stambouli, cité par la radio.
"Le seul avec qui je travaille jusqu'à présent c'est Mawuena Kodjovi, quelqu'un qui connaît son métier", a précisé le technicien français.
"Malheureusement, on ne fait pas confiance aux gens qui sont compétents ", a-t-il déploré.
Mawuena Kodjovi est toujours au chevet de l'équipe nationale togolaise, les Eperviers, et travaille avec Stambouli depuis que celui-ci accompagne cette équipe dans la préparation des éliminatoires de la CAN et du Mondial 2010.
Stambouli, qui doit succéder au Nigérian Stephen Keshi, travaille déjà depuis quelques semaines avec l'encadrement technique du Togo
TOGO - 22 mai 2008 - XINHUA
Dovi : un chanteur à la joie de vivre communicative
Il présente son premier album solo intitulé « Bienvenue dans ma vie »
C’est à l’occasion de la sortie de son album que Dovi a enflammé, le 5 mai dernier, la scène de la Comédia à Paris. Il a présenté, dans une atmosphère bon enfant, un panel de chansons au goût survitaminées. Tantôt grave, tantôt joyeux, ce chanteur d’origine togolaise est parvenu avec habilité à amener son public à la découverte de son univers musical. Chronique d’un artiste.
(Src:Afrik.com)
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vendredi 23 mai 2008, par Stéphanie Plasse
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Chemise, blanche, jean denim, le chanteur Dovi n’en fait pas trop, du moins vestimentairement parlant. Lâché sur une scène, c’est autre chose. Sur la scène Comédia, l’artiste d’origine togolaise sort le grand jeu pour présenter de son premier album solo baptisé Bienvenue dans ma vie. Il use de calembours à chaque fin de chansons, interpelle son public, frappe des mains, danse frénétiquement… une vraie boule d’énergie. Mais sa présence scénique n’est pas son seul atout. Entre pop, rock, blues et soul, Dovi explore plusieurs champs musicaux.
Dovi, l’autodidacte
Autodidacte, il a appris très jeune à jouer du piano et de la guitare quand d’autres étaient encore en train de s’amuser dans les bacs à sable. A 17 ans, il fonde son premier groupe avec lequel il joue ses propres compositions. Entre deux scènes, il passe au grand écran et tourne aux côtés de Fanny Ardant dans Change moi ma vie et de Richard Bohringer dans Un homme en colère. Autant d’expériences artistiques qui développent sa créativité.
Mais c’est en 2001 que sa carrière musicale prend un réel tournant. En coréalisant l’album Soki de Queen Eteme, une chanteuse de Gospel, Dovi est reconnu par les professionnels. Un grand pas pour cet artiste de 30 ans qui réalise avec son premier album un rêve d’enfant. De son opus, on retiendra les paroles enjouées et une musique entrainante. En résumé, de chansons simples pour de bons moments de détente.
lundi 19 mai 2008
NOUVEL EVEQUE DE KARA : Père Jacques Danka LONGA
BIOGRAPHIE DU NOUVEL EVEQUE DE KARA
Le nouvel évêque est né à Sokodé le 26 juillet 1961, et a été baptisé dans la cathédrale de Sokodé le 11 septembre de la même année. Après les sacrements de l’initiation chrétienne, il a étudié à Sokodé, à Pagouda, Kétao et Mango. Il a fréquenté la faculté de Physique à l’Université de Lomé de 1984 à 1985. Après, de 1985 à 1991, il a réalisé ses études philosophiques et théologiques au séminaire St. Gall d’Ouidah, au Bénin, où il a obtenu le baccalauréat en théologie. Le 25 janvier 1992 il a été ordonné prêtre, pour le diocèse de Sokodé, en passant en 1994 dans le clergé de Kara. Après son ordination il a réalisé les fonctions suivantes : 1992-1995 : Vicaire paroissial dans la paroisse de la Croix Glorieuse de Kétao ; 1995- 1997 : Directeur spirituel et professeur au séminaire interdiocésain de Propédeutique Saint Paul de Notsé (Kpalimé) ; 1997-2001 : Études réalisées à Rome à l’Université Pontificale Urbanienne, où il réalisa la licence en Droit Canonique ; 2002-2003 : Curé de la paroisse Notre-Dame de Fatima à Niamtougou, et Directeur de l’Institut Polytechnique catholique de Niamtougou ; de 2003 à aujourd’hui : Recteur du séminaire interdiocésain Jean-Paul II de Lomé.
Le diocèse de Kara, suffragant de l’archidiocèse de Lomé, a été érigé en 1994. Il a une superficie de 10.590 km², une population de 920.000 habitants dont environ 123.288 catholiques, 25 paroisses, 43 prêtres diocésains e 24 prêtres religieux, 94 religieuses, 38 séminaristes. (S.L.)
Source : http://www.acp-inter.net/jriste/affich_article.php?n_art=288
Abla Volta, la mode sans frontières
La valeur n’attend pas le nombre d’années dit la sagesse populaire. Abbla Volta ne fait pas mentir le proverbe elle qui à 18 ans remporte en 1988, le premier prix du concours de mode au Togo son pays natal.
Fille de couturière, elle perfectionne son savoir-faire à l’école de maître Ajavon à Lomé. Deux ans plus tard, elle s’envole pour Paris.
Depuis 2004 Abla Volta crée une ligne originale où se mêlent différentes matières. A la force et au caractère du cuir, s’allie la douceur de la dentelle. Le tout crée une ligne féminine universelle qui affirme autant qu’elle habille la femme qui la porte.
Présente lors de la deuxième édition du Labo Ethnic Show, Abla Volta propose sa vision de la mode pour cet été 2008 féminine aérienne avec des robes qui rappellent les toges romaines.
Sans oublier l’incontournable dentelle.
Le style Abla Volta c’est…
Abla volta styliste, crée des vêtements pour femme, en dentelle, maille, et en cuir.
L'envie de rendre la femme belle, travailler les tissus, j'aime tout ce qui touche a la mode.
La dentelle, le cuir, la maille, ce sont les matières qui vont le mieux dans mes créations.
Je n'ai pas vraiment de mots pour définir mes créations, je dirais qu'elles sont faites pour toute femme soucieuse d'avoir un style chic, unique, qui n'a pas besoin de l'étiquette d'une grande marque pour exister !
Avant d'avoir un Style, il faut pouvoir s'imposer dans toutes sortes de styles différents, c'est seulement après cette réussite que l'on peut en avoir un, bien a soi ...
L’élégance pour vous c’est….
Une femme qui est capable d'être chic avec n'importe quels vêtements bien choisis
Le comble du mauvais goût…
Une femme qui porte un vêtement qui n'est pas fait pour elle.
S’il y avait un modèle idéal que vous souhaiteriez voir porter vos créations, ce serait…
Pour moi toute femme est un modèle unique et peut porter mes créations. Il n'y a pas que les stars dans la vie...
Il y a beaucoup de belles femmes partout, de toutes tailles et de toutes origines.
Abla Volta en 5 dates
Premier prix au concours de jeunes stylistes en 1988 a Lomé TOGO
Ma rencontre avec mon mari en 1990.
La naissance de mon fils.
La naissance de ma fille.
2004 Le lancement de ma marque Abla Volta.
Pour en savoir plus
Grioo Pour Elle a consacré une galerie photos au travail d'Abla Volta.
Pour contacter la créatrice:
Téléphone: 06 62 47 92 26
Fax: 01 43 54 13 83
E-mail: contact@abla-volta.com
Site internet: www.abla-volta.com
Source : http://pourelle.grioo.com/ar,abla_volta_la_mode_sans_frontieres,1138.html
vendredi 16 mai 2008
Juanita Soukou élue femme la plus ronde du Togo
A l’instar de Miss Aoulaba en Côte d’Ivoire, Miss Diongoma au Sénégal, miss Maman Kilo au Cameroun, Miss Pog-bedré au Burkina, le Togo à sa Miss Nana Benz. Juanita Soukou a remporté le titre, samedi soir, au Palais des Congrès de Lomé.
« Je suis parti du constat que les femmes dites rondes sont souvent l’objet de complexes. Cet état apparaît comme un handicap plongeant ces femmes dans un renfermement. Parfois, elles en arrivent à haïr leur corps, à ne pas s’habiller comme elles le souhaitent de peur d’entendre une exclamation moqueuse », a confié à Juanita Soukou à Afrik.com, expliquant ce qui a motivé sa participation à l’élection de miss Nana Benz 2008, samedi soir.
Élève en classe de première au Lycée de Tokoin à Lomé et âgée de 20 ans, Juanita fait 1,56m pour 102 Kg. Elle a été choisie par le jury dans le lot des 12 candidates inscrites. « C’est une surprise. Je ne m’y attendais pas. Je ne saurais dire ce qui a fait la différence par rapport aux autres concurrentes », a déclaré l’heureuse élue, toute émue.
Juanita Soukou et ses dauphinesLa démarche, la beauté, la forme, et surtout l’épreuve fatidique des questions étaient les critères permettant aux membres du jury de dégager la femme de la plus "ronde" du Togo. Aucours de cette étape finale avant la délibération consacrée aux questions orales, les douze candidates sont intervenues sur différents sujets : l’émancipation de la femme, la gestion des déchets plastique dans la ville de Lomé, le rôle de la femme au foyer… et la maltraitance de la jeune fille en milieu rural, choix de la miss Juanita.
La rondeur, un critère de beauté africain
« Je suis prête à être la Ministre de la Défense car depuis toujours, les femmes sont confinées à être Ministre de la Condition féminine… Il faut une femme forte au sein du gouvernement qui puisse avoir un pouvoir décisionnel », a martelé la gagnante de la seconde édition de l’élection Miss Nana Benz.
Hézou TchédréPour les organisateurs, l’élection Miss Nana Benz ne s’apparente aux autres concours de beauté. « L’élection Miss Nana Benz ne vient pas en concurrence aux autres événements célébrant la beauté de la femme. Nous pensons à notre niveau que la vraie femme africaine, c’est la femme ronde. La beauté africaine ne se trouve pas que dans la minceur. Les critères de beauté de la femme chez les Européens ne peuvent pas toujours être appliqués en Afrique », estime Hezou Tchédré, le Président du Comité National Miss Nana Benz.
La Miss gagne en plus d’une moto, un séjour d’un mois à Paris, une bague d’une valeur de 500 000 F CFA (environ 765 euros), un lot de pagnes et d’autres prix que les organisateurs n’ont pas dévoilé. Pour devenir Miss Nana Benz, il faut avoir un minimum de 90kg et être âgées d`au moins 18 ans. La première édition de Miss Nana Benz à connu le sacre de Sandrine Solim.
Autrefois riches et puissantes, les célèbres femmes d’affaire du Togo, appelées Nana Benz étaient spécialisées dans la vente de pagnes dans les années 60 à 80
Source Afrik.com
mercredi 14 mai 2008
Togo - Libye le 25 mai à Tripoli en match amical
Les Eperviers du Togo affrontent la Libye le 25 mai prochain à Tripoli en match international amical de préparation, a appris APA auprès de la Fédération togolaise de football (FTF).
« Notre équipe sera le 25 mai en Libye en match amical de préparation du premier tour des éliminatoires de la CAN et du mondial 2010», a confié au téléphone à APA Espoir Assogbavi, secrétaire général de la FTF.
Ce match servira de préparation aux Eperviers qui reçoivent la Zambie en match aller des éliminatoires combinées Coupe d'Afrique des nations (CAN) et Coupe du monde 2010, le 31 mai prochain à Accra à cause de la décision de suspension par la Confédération africaine de football (CAF) du stade de Kégué à Lomé.
Cette suspension fait suite aux violences d'octobre 2007 lors du match Togo - Mali comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.
Selon Assogbavi, les 18 internationaux togolais convoqués par la FTF seront en regroupement à Lomé à partir du 18 mai.
Sauf changement de dernière minute, l'équipe togolaise sera conduite par le Français Henri Stambouli arrivé samedi soir à Lomé où il signera cette semaine un contrat avec les autorités togolaises.
Les Eperviers du Togo affrontent la Libye le 25 mai prochain à Tripoli en match international amical de préparation, a appris APA auprès de la Fédération togolaise de football (FTF).
« Notre équipe sera le 25 mai en Libye en match amical de préparation du premier tour des éliminatoires de la CAN et du mondial 2010», a confié au téléphone à APA Espoir Assogbavi, secrétaire général de la FTF.
Ce match servira de préparation aux Eperviers qui reçoivent la Zambie en match aller des éliminatoires combinées Coupe d'Afrique des nations (CAN) et Coupe du monde 2010, le 31 mai prochain à Accra à cause de la décision de suspension par la Confédération africaine de football (CAF) du stade de Kégué à Lomé.
Cette suspension fait suite aux violences d'octobre 2007 lors du match Togo - Mali comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.
Selon Assogbavi, les 18 internationaux togolais convoqués par la FTF seront en regroupement à Lomé à partir du 18 mai.
Sauf changement de dernière minute, l'équipe togolaise sera conduite par le Français Henri Stambouli arrivé samedi soir à Lomé où il signera cette semaine un contrat avec les autorités togolaises.
Les Eperviers du Togo affrontent la Libye le 25 mai prochain à Tripoli en match international amical de préparation, a appris APA auprès de la Fédération togolaise de football (FTF).
« Notre équipe sera le 25 mai en Libye en match amical de préparation du premier tour des éliminatoires de la CAN et du mondial 2010», a confié au téléphone à APA Espoir Assogbavi, secrétaire général de la FTF.
Ce match servira de préparation aux Eperviers qui reçoivent la Zambie en match aller des éliminatoires combinées Coupe d'Afrique des nations (CAN) et Coupe du monde 2010, le 31 mai prochain à Accra à cause de la décision de suspension par la Confédération africaine de football (CAF) du stade de Kégué à Lomé.
Cette suspension fait suite aux violences d'octobre 2007 lors du match Togo - Mali comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.
Selon Assogbavi, les 18 internationaux togolais convoqués par la FTF seront en regroupement à Lomé à partir du 18 mai.
Sauf changement de dernière minute, l'équipe togolaise sera conduite par le Français Henri Stambouli arrivé samedi soir à Lomé où il signera cette semaine un contrat avec les autorités togolaises.
Les Eperviers du Togo affrontent la Libye le 25 mai prochain à Tripoli en match international amical de préparation, a appris APA auprès de la Fédération togolaise de football (FTF).
« Notre équipe sera le 25 mai en Libye en match amical de préparation du premier tour des éliminatoires de la CAN et du mondial 2010», a confié au téléphone à APA Espoir Assogbavi, secrétaire général de la FTF.
Ce match servira de préparation aux Eperviers qui reçoivent la Zambie en match aller des éliminatoires combinées Coupe d'Afrique des nations (CAN) et Coupe du monde 2010, le 31 mai prochain à Accra à cause de la décision de suspension par la Confédération africaine de football (CAF) du stade de Kégué à Lomé.
Cette suspension fait suite aux violences d'octobre 2007 lors du match Togo - Mali comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.
Selon Assogbavi, les 18 internationaux togolais convoqués par la FTF seront en regroupement à Lomé à partir du 18 mai.
Sauf changement de dernière minute, l'équipe togolaise sera conduite par le Français Henri Stambouli arrivé samedi soir à Lomé où il signera cette semaine un contrat avec les autorités togolaises.
TOGO - 12 mai 2008 - APANEWS
« Notre équipe sera le 25 mai en Libye en match amical de préparation du premier tour des éliminatoires de la CAN et du mondial 2010», a confié au téléphone à APA Espoir Assogbavi, secrétaire général de la FTF.
Ce match servira de préparation aux Eperviers qui reçoivent la Zambie en match aller des éliminatoires combinées Coupe d'Afrique des nations (CAN) et Coupe du monde 2010, le 31 mai prochain à Accra à cause de la décision de suspension par la Confédération africaine de football (CAF) du stade de Kégué à Lomé.
Cette suspension fait suite aux violences d'octobre 2007 lors du match Togo - Mali comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.
Selon Assogbavi, les 18 internationaux togolais convoqués par la FTF seront en regroupement à Lomé à partir du 18 mai.
Sauf changement de dernière minute, l'équipe togolaise sera conduite par le Français Henri Stambouli arrivé samedi soir à Lomé où il signera cette semaine un contrat avec les autorités togolaises.
Les Eperviers du Togo affrontent la Libye le 25 mai prochain à Tripoli en match international amical de préparation, a appris APA auprès de la Fédération togolaise de football (FTF).
« Notre équipe sera le 25 mai en Libye en match amical de préparation du premier tour des éliminatoires de la CAN et du mondial 2010», a confié au téléphone à APA Espoir Assogbavi, secrétaire général de la FTF.
Ce match servira de préparation aux Eperviers qui reçoivent la Zambie en match aller des éliminatoires combinées Coupe d'Afrique des nations (CAN) et Coupe du monde 2010, le 31 mai prochain à Accra à cause de la décision de suspension par la Confédération africaine de football (CAF) du stade de Kégué à Lomé.
Cette suspension fait suite aux violences d'octobre 2007 lors du match Togo - Mali comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.
Selon Assogbavi, les 18 internationaux togolais convoqués par la FTF seront en regroupement à Lomé à partir du 18 mai.
Sauf changement de dernière minute, l'équipe togolaise sera conduite par le Français Henri Stambouli arrivé samedi soir à Lomé où il signera cette semaine un contrat avec les autorités togolaises.
Les Eperviers du Togo affrontent la Libye le 25 mai prochain à Tripoli en match international amical de préparation, a appris APA auprès de la Fédération togolaise de football (FTF).
« Notre équipe sera le 25 mai en Libye en match amical de préparation du premier tour des éliminatoires de la CAN et du mondial 2010», a confié au téléphone à APA Espoir Assogbavi, secrétaire général de la FTF.
Ce match servira de préparation aux Eperviers qui reçoivent la Zambie en match aller des éliminatoires combinées Coupe d'Afrique des nations (CAN) et Coupe du monde 2010, le 31 mai prochain à Accra à cause de la décision de suspension par la Confédération africaine de football (CAF) du stade de Kégué à Lomé.
Cette suspension fait suite aux violences d'octobre 2007 lors du match Togo - Mali comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.
Selon Assogbavi, les 18 internationaux togolais convoqués par la FTF seront en regroupement à Lomé à partir du 18 mai.
Sauf changement de dernière minute, l'équipe togolaise sera conduite par le Français Henri Stambouli arrivé samedi soir à Lomé où il signera cette semaine un contrat avec les autorités togolaises.
Les Eperviers du Togo affrontent la Libye le 25 mai prochain à Tripoli en match international amical de préparation, a appris APA auprès de la Fédération togolaise de football (FTF).
« Notre équipe sera le 25 mai en Libye en match amical de préparation du premier tour des éliminatoires de la CAN et du mondial 2010», a confié au téléphone à APA Espoir Assogbavi, secrétaire général de la FTF.
Ce match servira de préparation aux Eperviers qui reçoivent la Zambie en match aller des éliminatoires combinées Coupe d'Afrique des nations (CAN) et Coupe du monde 2010, le 31 mai prochain à Accra à cause de la décision de suspension par la Confédération africaine de football (CAF) du stade de Kégué à Lomé.
Cette suspension fait suite aux violences d'octobre 2007 lors du match Togo - Mali comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.
Selon Assogbavi, les 18 internationaux togolais convoqués par la FTF seront en regroupement à Lomé à partir du 18 mai.
Sauf changement de dernière minute, l'équipe togolaise sera conduite par le Français Henri Stambouli arrivé samedi soir à Lomé où il signera cette semaine un contrat avec les autorités togolaises.
TOGO - 12 mai 2008 - APANEWS
samedi 10 mai 2008
Le Togo abdique dans ses efforts pour contenir le prix des carburants
Après une subvention du prix du carburant entre janvier et avril 2008, pour un montant de 10 milliards de FCFA, l'Etat togolais soutient aujourd'hui ne plus pouvoir maintenir le prix actuel des carburants, eu égard à la flambée du prix du pétrole sur le marché mondial.
Le ministre togolais de l’Economie et des Finances, Adji Otteth Ayassor, a déclaré, catégorique, jeudi soir à l’Assemblée nationale, lors des questions orales au gouvernement interpellé sur la cherté de la vie, que l’Etat ne peut pas maintenir éternellement le prix des carburants.
"Nous avons fait des efforts jusqu’à présent pour contenir le prix des carburants. Mais, si cette flambée continue de cette manière, et que nous ne sommes pas en mesure de soutenir les prix, le gouvernement va avoir à statuer", a expliqué le ministre des Finances, avant d'annoncer : "nous ne pouvons pas vous dire ici que le gouvernement prend l’engagement que le prix des carburants ne va pas augmenter demain".
L’intervention de l’Etat pour maintenir les prix à la pompe sur la période janvier-avril 2008 représentait un manque à gagner d’environ 10 milliards de FCFA pour le budget national.
"Il en résulterait, si l’on n’y prend garde, un déséquilibre des prévisions budgétaires de la loi des finances 2008 car l’intervention de l’Etat en matière de soutien au secteur des produits pétroliers a atteint ses limites", avait averti le gouvernement lors du conseil des ministres de la dernière semaine de mars.
La dernière révision à la hausse des prix à la pompe des produits pétroliers au Togo remonte au 1er décembre 2007, au moment où le baril du brut était à 60 dollars US.
Selon des chiffres fournis par le ministère du Commerce, l’essence sans plomb devrait se vendre à la pompe à 581 FCFA le litre au lieu de 505 FCFA maintenus actuellement ; le pétrole lampant 370 FCFA au lieu de 548 et le gasoil 700 FCFA le litre au lieu de 649 FCFA.
La fin des mesures de subvention des produits pétroliers annoncée par le gouvernement constitue actuellement une épée de Damoclès sur la tête des consommateurs togolais, qui craignent une véritable érosion de leur pouvoir d’achat si les prix des carburants sont revus à la hausse.
Lomé - 09/05/2008
Panapress
Le ministre togolais de l’Economie et des Finances, Adji Otteth Ayassor, a déclaré, catégorique, jeudi soir à l’Assemblée nationale, lors des questions orales au gouvernement interpellé sur la cherté de la vie, que l’Etat ne peut pas maintenir éternellement le prix des carburants.
"Nous avons fait des efforts jusqu’à présent pour contenir le prix des carburants. Mais, si cette flambée continue de cette manière, et que nous ne sommes pas en mesure de soutenir les prix, le gouvernement va avoir à statuer", a expliqué le ministre des Finances, avant d'annoncer : "nous ne pouvons pas vous dire ici que le gouvernement prend l’engagement que le prix des carburants ne va pas augmenter demain".
L’intervention de l’Etat pour maintenir les prix à la pompe sur la période janvier-avril 2008 représentait un manque à gagner d’environ 10 milliards de FCFA pour le budget national.
"Il en résulterait, si l’on n’y prend garde, un déséquilibre des prévisions budgétaires de la loi des finances 2008 car l’intervention de l’Etat en matière de soutien au secteur des produits pétroliers a atteint ses limites", avait averti le gouvernement lors du conseil des ministres de la dernière semaine de mars.
La dernière révision à la hausse des prix à la pompe des produits pétroliers au Togo remonte au 1er décembre 2007, au moment où le baril du brut était à 60 dollars US.
Selon des chiffres fournis par le ministère du Commerce, l’essence sans plomb devrait se vendre à la pompe à 581 FCFA le litre au lieu de 505 FCFA maintenus actuellement ; le pétrole lampant 370 FCFA au lieu de 548 et le gasoil 700 FCFA le litre au lieu de 649 FCFA.
La fin des mesures de subvention des produits pétroliers annoncée par le gouvernement constitue actuellement une épée de Damoclès sur la tête des consommateurs togolais, qui craignent une véritable érosion de leur pouvoir d’achat si les prix des carburants sont revus à la hausse.
Lomé - 09/05/2008
Panapress
vendredi 9 mai 2008
L'ambassade américaine au Togo assiégée
Le Collectif des victimes du Diversity Immigrant Program exige des visas
Plusieurs dizaines de personnes, constituées en « Collectif des victimes du Diversity Immigrant Program », organisent depuis plus de deux semaines un sit-in devant l’ambassade américaine à Lomé. L’indifférence des diplomates américains face à leurs revendications les pousse à passer à l’étape supérieure : la grève de la faim. Les manifestants entendent ainsi protester contre le refus des autorités consulaires américaines de délivrer le visa aux gagnants.
http://www.afrik.com/article14242.html
jeudi 8 mai 2008
Un appel pour limiter l'inflation et contrôler la hausse des prix
TOGO - 6 mai 2008 - XINHUA
L'Observatoire de la sécurité alimentaire du Togo (OSAT), institution dépendant du ministère de l'Agriculture, a déploré ce week-en la flambée des prix des céréales sur les marchés et appelé à ce qu'il y ait une "limite" à cette inflation, a rapporté la télévision nationale TVT.
"Au Togo, nous évoluons vers le cas de liberté commerciale à outrance", a indiqué Ouro-Koura Agadazi, directeur de l'OSAT.
"Il y a de l'inflation, mais il faut que cette inflation ait de limite", a-t-il insisté, indiquant la nécessité de mettre en place un système de contrôle ou un mécanisme de régulation.
L'OSAT, qui a toujours disposé de stock de sécurité, a entrepris de vendre le maïs, l'aliment de base, dans 17 points de vente à 400 francs CFA la mesure (environ 3 kilos) qui coûte 700 francs sur les marchés.
Au Togo, la mesure du maïs est vendue à 700 francs, celle du haricot à 1.200 francs, alors que le prix du riz importé pour la grande partie ne cesse d'augmenter chaque jour.
L'Observatoire de la sécurité alimentaire du Togo (OSAT), institution dépendant du ministère de l'Agriculture, a déploré ce week-en la flambée des prix des céréales sur les marchés et appelé à ce qu'il y ait une "limite" à cette inflation, a rapporté la télévision nationale TVT.
"Au Togo, nous évoluons vers le cas de liberté commerciale à outrance", a indiqué Ouro-Koura Agadazi, directeur de l'OSAT.
"Il y a de l'inflation, mais il faut que cette inflation ait de limite", a-t-il insisté, indiquant la nécessité de mettre en place un système de contrôle ou un mécanisme de régulation.
L'OSAT, qui a toujours disposé de stock de sécurité, a entrepris de vendre le maïs, l'aliment de base, dans 17 points de vente à 400 francs CFA la mesure (environ 3 kilos) qui coûte 700 francs sur les marchés.
Au Togo, la mesure du maïs est vendue à 700 francs, celle du haricot à 1.200 francs, alors que le prix du riz importé pour la grande partie ne cesse d'augmenter chaque jour.
vendredi 2 mai 2008
Kokouvi Galley (Togo) à La 7ème édition du Festival du Jamais Lu
La 7ème édition du Festival du Jamais Lu
Du 2 au 11 mai reçoit dans le cadre de son volet international,
deux auteurs de théâtre venus du Liban et du Togo.
Leurs textes seront en vedette les 5 et 7 mai
au cabaret O Patro Vys, 356, ave. du Mont-Royal Est
Informations et réservations : 514 844-1811
Visitez : http://www.jamaislu.com/galley.html
Du 2 au 11 mai reçoit dans le cadre de son volet international,
deux auteurs de théâtre venus du Liban et du Togo.
Leurs textes seront en vedette les 5 et 7 mai
au cabaret O Patro Vys, 356, ave. du Mont-Royal Est
Informations et réservations : 514 844-1811
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