Le père Victor Eusèbe ADJAMAGBO a été retrouvé mort ce matin à Lomé. Le père, un matinal, qui officie les messes du matin, n'était pas au rendez-vous ce matin. Et les fidèles de la paroisse étaient surpris de ne pas le voir. On tapa en vain à sa porte ; puis on l’appela également sur son portable qui sonnait en vain. On fut obligé de défoncer les portes et c’est alors qu’on a découvert son cadavre dans le WC, dans une position assise sur le pot.
Personne ne sut quel mal foudroyant a pu frapper le curé de la paroisse de Saint-Joseph de Lomé, certains parlent d'une crise cardiaque. Nous y reviendrons.
TOGO NECROLOGIE présente ses sincères condoléances aux familles éplorées ou affectées.
source : http://www.togonecrologie.com/
Journal d'informations culturelles, touristiques, économiques, financières, d'Échanges sur le TOGO, OR DE L'HUMANITÉ
jeudi 27 janvier 2011
lundi 24 janvier 2011
Aimes met le cap sur la France
Association « Aimes Afrique», créée en 2005 par le Michel Kodom et un groupe de médecins et spécialistes togolais, a annoncé dimanche à Paris le lancement de sa représentation française.
Cette structure aura, notamment, pour tâche de collecter du matériel médical destiné aux hôpitaux du Togo, de monter des opérations humanitaires avec des chirurgiens français et des médecins de la Diaspora togolaise soucieux d’aider à l’amélioration du système de santé dans leur pays d’origine.
Cette association est ouverte à toutes les bonnes volontés, membres du corps médical ou non.
« Il est important de mobiliser nos collègues français et togolais. Nous avons besoin de leur aide et de leur compétence. De nombreux médecins togolais vivent en France ; ils peuvent revenir au Togo pour des missions de deux semaines », explique Michel Kodom.
Aimes mène des campagnes de soins gratuits (consultations, dépistage du sida et interventions chirurgicales) au Togo, mais également au Burkina et au Mali.
Depuis sa création, cette ONG a à son actif des milliers d’opérations.
source :
http://www.aimes-afrique.org/
http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Sante/Aimes-met-le-cap-sur-la-France
Cette structure aura, notamment, pour tâche de collecter du matériel médical destiné aux hôpitaux du Togo, de monter des opérations humanitaires avec des chirurgiens français et des médecins de la Diaspora togolaise soucieux d’aider à l’amélioration du système de santé dans leur pays d’origine.
Cette association est ouverte à toutes les bonnes volontés, membres du corps médical ou non.
« Il est important de mobiliser nos collègues français et togolais. Nous avons besoin de leur aide et de leur compétence. De nombreux médecins togolais vivent en France ; ils peuvent revenir au Togo pour des missions de deux semaines », explique Michel Kodom.
Aimes mène des campagnes de soins gratuits (consultations, dépistage du sida et interventions chirurgicales) au Togo, mais également au Burkina et au Mali.
Depuis sa création, cette ONG a à son actif des milliers d’opérations.
source :
http://www.aimes-afrique.org/
http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Sante/Aimes-met-le-cap-sur-la-France
vendredi 14 janvier 2011
Souper & Poker - Soirée bénéfice pour le Togo
VENEZ NOUS ENCOURAGER, SUPPORTER UNE BONNE CAUSE tout en venant vous AMUSEZ, BIEN MANGER et COURRIR LA CHANCE DE GAGNER BIEN PLUS que votre prix d'entrée.
Comme bien d'entre vous le savent, mon copain Lerntz et moi collectons du matériels depuis plusieurs mois dans le but de remplir une conteneur de 40 pieds que nous irons distribuer aux plus démunis du Togo à la fin janvier 2011. Le conteneur quittera par bateau d'ici 2 semaines.... Seul les frais de transport s'élève à près de 7000$, alors c'est pourquoi nous organisons cette levée de fonds pour nous aider à payer cette somme.
La soirée se déroulera au Forum Sport Resto-Bar
18, rue de la Baie
Gatineau, QC J8T 3H3
Programme de la soirée:
17h - Souper/buffet avec 3 choix de repas: Steak, poulet ou saumon
18h30 - Introduction au Poker pour ceux qui ne sont pas familier
19h - Début du tournoi de Poker
Il y aura un prix pour le gagnant, mais nous aurons aussi des prix pour tous les goûts à faire tirer durant la soirée.Voici quelques idées des commanditaires:
TAKTIK PAINTBALL
SPA SCANDINAVE
FESTIVAL de SALSA de GATINEAU
DERMINK TATOUAGE
CAVERNE LAFLÈCHE
École de GO SALSA
TRAIN de WAKEFIELD
MUSÉE de la guerre/civilisation/science et technologie
FERN SPORT chasse et pêche
Terminus de Hull
Et plusieurs autres à venir...
Prix du billet: 40$
Pour l'achat de billet ou plus amples information, contacter:
Lerntz Joseph 613.878.9595
ou
Véronique Bélec 819.328.0217
mercredi 5 janvier 2011
APPEL POUR LA PAIX EN CÔTE D'IVOIRE
L'appel est initié par :
- Makhily Gassama, professeur de lettres certifié de classe exceptionnelle, ancien ministre de la culture et ancien ambassadeur du Sénégal
- Martial Ze Belinga, Economiste et sociologue, auteur, directeur de publication de Afrikara.com
- Bamba Sakho, docteur en sciences et diplômé en économie, a servi dans différentes organisations internationales.
Les initiateurs ont participé à la rédaction de l'ouvrage "50 ans après, quelle indépendance pour l'Afrique?", éditions Philippe Rey.
http://www.appelpourlapaixenci.org/
- Makhily Gassama, professeur de lettres certifié de classe exceptionnelle, ancien ministre de la culture et ancien ambassadeur du Sénégal
- Martial Ze Belinga, Economiste et sociologue, auteur, directeur de publication de Afrikara.com
- Bamba Sakho, docteur en sciences et diplômé en économie, a servi dans différentes organisations internationales.
Les initiateurs ont participé à la rédaction de l'ouvrage "50 ans après, quelle indépendance pour l'Afrique?", éditions Philippe Rey.
http://www.appelpourlapaixenci.org/
lundi 3 janvier 2011
TOGO: Pour Manya Andrews, « les préservatifs avaient l’épaisseur et la sensitivité d’un pneu »
JOHANNESBOURG, 23 août 2010 (PlusNews) - Manya Andrews est consultante en communication santé à Populations Services International au Togo. Au cours d’une conférence récente sur le VIH et la vie de couple, elle a parlé à IRIN/PlusNews de la façon dont son équipe et elle-même ont dû repenser leurs opinions sur le sexe, afin de donner un nouvel élan à la campagne togolaise de distribution de préservatifs masculins.
« Nous n’avancions plus dans la distribution des préservatifs ; nous avons donc fait machine arrière et étudié le produit. Nous allions justement changer de donateur, c’était donc une opportunité de changer de fournisseurs [de préservatifs]… nous avons décidé que c’était pour nous une véritable opportunité de découvrir ce qui plaisait aux gens et ce qui ne leur plaisait pas.
Les trois griefs principaux étaient l’odeur, qui était relativement forte, le fait que les préservatifs se déchiraient tout le temps et le fait qu’ils n’étaient pas assez lubrifiés.
Grosso modo, les préservatifs que nous avions … [distribués] avaient l’épaisseur et la sensitivité d’un pneu ; le [lubrifiant] était, disons, ce truc à base d’amidon de maïs qui sent terriblement mauvais, et [pour les femmes], c’était douloureux. Ils étaient complètement nuls, aussi nous avons commencé à en tester d’autres. Après le changement, nous avons assisté à une forte progression de l’utilisation.
Nous avons également été surpris que voir que les gens voulaient utiliser des préservatifs. Même nos propres collaborateurs étaient convaincus à tort que les gens ne voulaient pas utiliser de préservatifs et nos décisions étaient parfois fondées sur cette idée.
Ça a été très drôle quand les auditeurs du Fonds mondial (contre le sida, la tuberculose et la malaria) sont venus alors que nous étions en train de tester ces nouveaux préservatifs.
Nous avions des préservatifs partout sur les tables dans notre salle de réunion et nous étions en train de les sentir, de les toucher, de les goûter … quand les gars de PricewaterhouseCoopers [la société d’audit] sont arrivés.
Nous faisions [aussi] du coaching sur la façon d’utiliser un préservatif, mais nous avons découvert que les gens ont tout de même besoin de l’avoir dans les mains, de jouer avec et de l’essayer eux-mêmes.
Pour nous cela a encore été une leçon essentielle et soudain nous nous sommes dit : 'Il faut que nous changions complètement notre façon de procéder.' Il nous fallait descendre du podium et rejoindre la foule.
Pas étonnant que les gens vous disent que cela prend trop de temps d’utiliser un préservatif : pour expliquer les 15 étapes de l’utilisation d’un préservatif, [cela prenait bien] 15 minutes, et les gens devaient s’imaginer qu’il fallait tout ce temps pour l’utiliser en réalité.
Nous nous sommes dit : 'Ramenons cette procédure à deux étapes pour simplifier – 'pincer' et 'dérouler'– c’est tout … Si j’y arrive, vous aussi vous pouvez y arriver et avant de nous quitter, nous allons tous apprendre comment faire et tous recevoir notre 'certification préservatif.'
Et maintenant toute la communication autour des préservatifs vise littéralement à s’assurer que tous les participants maîtrisent cette compétence avant de quitter la séance. »
llg/ks/he/og
Theme (s): VIH/SIDA (PlusNews),
[Cet article ne reflète pas nécessairement les vues des Nations Unies]
SOURCE: http://www.irinnews.org/fr/ReportFrench.aspx?ReportID=90261
« Nous n’avancions plus dans la distribution des préservatifs ; nous avons donc fait machine arrière et étudié le produit. Nous allions justement changer de donateur, c’était donc une opportunité de changer de fournisseurs [de préservatifs]… nous avons décidé que c’était pour nous une véritable opportunité de découvrir ce qui plaisait aux gens et ce qui ne leur plaisait pas.
Les trois griefs principaux étaient l’odeur, qui était relativement forte, le fait que les préservatifs se déchiraient tout le temps et le fait qu’ils n’étaient pas assez lubrifiés.
Grosso modo, les préservatifs que nous avions … [distribués] avaient l’épaisseur et la sensitivité d’un pneu ; le [lubrifiant] était, disons, ce truc à base d’amidon de maïs qui sent terriblement mauvais, et [pour les femmes], c’était douloureux. Ils étaient complètement nuls, aussi nous avons commencé à en tester d’autres. Après le changement, nous avons assisté à une forte progression de l’utilisation.
Nous avons également été surpris que voir que les gens voulaient utiliser des préservatifs. Même nos propres collaborateurs étaient convaincus à tort que les gens ne voulaient pas utiliser de préservatifs et nos décisions étaient parfois fondées sur cette idée.
Ça a été très drôle quand les auditeurs du Fonds mondial (contre le sida, la tuberculose et la malaria) sont venus alors que nous étions en train de tester ces nouveaux préservatifs.
Nous avions des préservatifs partout sur les tables dans notre salle de réunion et nous étions en train de les sentir, de les toucher, de les goûter … quand les gars de PricewaterhouseCoopers [la société d’audit] sont arrivés.
Nous faisions [aussi] du coaching sur la façon d’utiliser un préservatif, mais nous avons découvert que les gens ont tout de même besoin de l’avoir dans les mains, de jouer avec et de l’essayer eux-mêmes.
Pour nous cela a encore été une leçon essentielle et soudain nous nous sommes dit : 'Il faut que nous changions complètement notre façon de procéder.' Il nous fallait descendre du podium et rejoindre la foule.
Pas étonnant que les gens vous disent que cela prend trop de temps d’utiliser un préservatif : pour expliquer les 15 étapes de l’utilisation d’un préservatif, [cela prenait bien] 15 minutes, et les gens devaient s’imaginer qu’il fallait tout ce temps pour l’utiliser en réalité.
Nous nous sommes dit : 'Ramenons cette procédure à deux étapes pour simplifier – 'pincer' et 'dérouler'– c’est tout … Si j’y arrive, vous aussi vous pouvez y arriver et avant de nous quitter, nous allons tous apprendre comment faire et tous recevoir notre 'certification préservatif.'
Et maintenant toute la communication autour des préservatifs vise littéralement à s’assurer que tous les participants maîtrisent cette compétence avant de quitter la séance. »
llg/ks/he/og
Theme (s): VIH/SIDA (PlusNews),
[Cet article ne reflète pas nécessairement les vues des Nations Unies]
SOURCE: http://www.irinnews.org/fr/ReportFrench.aspx?ReportID=90261
dimanche 2 janvier 2011
ATLAT INTERNATIONAL
- Accompagnement et promotion du processus de développement local, et celui de la décentralisation.
- Information, formation, communication, et animation des réflexions sur le développement local et sur la promotion de la santé.
- Recherches, études, suivis ,Montages et évaluation des projets de développement communautaire.
- Protection de l'environnement et assainissement,Encadrement, éducation et développement des capacités professionnelles des jeunes et adolescents défavorisés afin de leur permettre de créer et de gérer leur propre emploi et œuvrer à leur insertion ou réinsertion dans la société.
- Promotion et protection des droits de la FEMME et de l'ENFANT
http://atlatinternational.blogspot.com/
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